le notaire Liberra passe sans doute un agréable week-end de Pentecôte dans sa charmant demeure en Bourgogne, mais mon fils lui, en est à sa huitième journée d'i

 

 Le notaire Liberra passe probablement le week end de la Pentecôte dans sa charmante demeure de Bourgogne mais mon fils, lui, continue d'être à l'isolement à l'Hôpital. 

 

On imagine pas les ravages que peuvent causer les notaires malveillants dans la vie des gens.

 

Pour ceux qui voudraient connaître le contexte le contexte  je leur  propose de lire les autres articles du blog.https://www.monotaireestunpervers.com/2018/04/01/essai/

 

Bref, venons en au fait,  nous sommes aujourd'hui le lundi 21 mai,  il fait beau et j'imagine que le notaire en charge de la succession de ma mère passe un excellent week-end au soleil.

 

 Ce n'est malheureusement pas le cas de mon fils  qui est  en est à son huitième jour de prison, je vois que je viens de faire un lapsus mais je le laisse  car il est révélateur ,  je voulais écrire à son huitième jour d'hôpital.

Depuis huit jours il est enfermé entre les quatre murs de sa chambre d'hôpital, sans pouvoir  en sortir et sans pouvoir recevoir aucune visite.

 

Sans lecture, sans télé, sans radio , sans son portable, sans rien.

 

Huit jours c'est énorme.  

 

Il est encore trop agité , disent les docteurs, pour recevoir des visites.

 

Je n'en veux pas aux docteurs, ils n'y sont pour rien, ils font simplement leur métier.

 

En revanche j'en veux énormément au notaire Liberra  ( faux nom bien sûr )  qui est, selon moi,  à l'origine du séjour forcé de mon fils dans cet hôpital. 

 

Petit rappel des faits :  Depuis le décès de ma mère en août dernier le notaire Liberra, hélas en charge du dossier de succession  fait tout pour retarder la succession et multiplie les incidents à l'envi  et n'a jamis échangé le moindre courrier avec moi.

 

Il se trouve que je vis avec mon fils  et qu'il souffre de dépression chronique.

 

Il est suivi médicalement  et quand il prend son traitement ça va un peu mieux  ou disons plutôt un peu moins mal.

Mais il est hyper sensible et la moindre contrariété  a des répercussions sur sa santé.

Depuis 9 mois il subit le contrecoup des agissements troubles du notaire Liberra,  agissements que j'essaye de lui cacher le plus possible mais dont il a fini par se rendre compte.  

Il semblerait qu'il y ait du ' détournement d'héritage ' dans l'air .

Mon fils  calme ses angoisses en augmentant ses doses de médicaments, médicaments qui ne sont pas anodins bien évidemment.  

Quand il est en crise, impossible de le  raisonner et de l'empêcher d'augmenter ses doses de médicaments.

 Ce n'est pas tellement la succession en soi qui le perturbe mais le comportement profondément vicieux et lâche du notaire en charge du dossier.

 Cela entraîne chez lui des troubles du comportement  tels qu'il a fallu, la semaine dernière, faire intervenir les pompiers qui ont été obligés de s'y mettre à plusieurs pour le contraindre à entrer dans le camion  qui l'a emmené à l'hôpital.

Je ne souhaite à personne de vivre cela, à personne sauf à Liberra... 

 Scène extrêmement  pénible mais il n'y avait hélas rien d'autre à faire.

Disons que c'était la moins mauvaise solution.

Quelques heures plus tard, le médecin des urgences m'a fait signer les papiers pour l'HO.

Inutile de dire que je ne les ai pas signés de gaieté de coeur mais il n'y avait rien d'autre à faire : Mon fils était en phase aiguë... comme on dit.

Je n'accuse pas le notaire Liberra d'être à l'origine de la dépression chronique dont mon fils est atteint depuis de si longues années, en aucun cas je ne  dis cela, que les choses soient claires.

En revanche  je suis absolument convaincue  que ses sur consommations médicamenteuses sont liées  au  stress généré  par le comportement malveillant du notaire à notre encontre.

J'en ai l'intime conviction.

 Pour que les choses soient claires ça ne m'amuse pas trop de parler de ma petite vie personnelle sur internet et je ne fais pas ça  pour m'apitoyer sur moi-même et encore moins demander des conseils..

D'ailleurs quels conseils ?  prendre un second notaire ? c'est fait. Ecrire à la Chambre des Notaires, ce piège à gogos, c'est fait. Ecrire au Procureur de la République, c'est fait.

 Je ne mets pas tous les notaires dans le même panier, il y en a probablement d'intègres et qui ne sont pas autant imbus de leur petit pouvoir de merde que le mien.

J'en veux terriblement à ce notaire, bien sûr  mais j'en veux mille fois plus à sa Chambre des Notaires et au Procureur de la République qui " savent " ce qu'il en est et qui couvrent ses agissements.