Jacques Ferrand notaire chez : Les mystères de Paris d' Eugène Sue
« le notaire Jacques Ferrand n'aimait que l'or.
Il aimait l'or pour l'or.
Il aimait la possession pour la possession.
Quant à ce qui appartenait aux autres, s'il s'agissait d'un riche dépôt, il éprouvait à rendre ce dépôt le même déchirement, le même désespoir qu'éprouvait l'orfèvre Cardillac à se séparer d'une parure dont son goût exquis avait fait une œuvre d'art. »
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